La coupure entre architectes et intellectuels, ou les enseignements de l'Italophilie e-bog
343,95 DKK
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Confronter les codes et les écoles artistiques entre la France et l'Italie en matière d'urbanismeDans cet ouvrage initialement publié en 1984 et rapidement devenu introuvable, Jean-Louis Cohen analyse un moment-clé pour la théorie et la pratique de l’architecture contemporaine, marqué par les échanges intenses des années 1970 entre l’Italie et la France. Il en fut à la fois l’un des témoins et ...
E-bog
343,95 DKK
Forlag
Mardaga
Udgivet
11 juni 2015
Genrer
Architecture
Sprog
French
Format
epub
Beskyttelse
LCP
ISBN
9782804702922
Confronter les codes et les écoles artistiques entre la France et l'Italie en matière d'urbanisme
Dans cet ouvrage initialement publié en 1984 et rapidement devenu introuvable, Jean-Louis Cohen analyse un moment-clé pour la théorie et la pratique de l’architecture contemporaine, marqué par les échanges intenses des années 1970 entre l’Italie et la France. Il en fut à la fois l’un des témoins et l’un des acteurs.
Cette chronique permet de découvrir les causes et les effets de la coupure constatée entre les architectes et les intellectuels en France, depuis la moitié du XIXe siècle, au travers d’une réflexion sur les rares contacts qu’ils entretinrent et d’une réflexion sur les malentendus qui jalonnèrent leurs rapports.
Cette coupure est rendue particulièrement patente par la confrontation des situations respectives de la France et de l’Italie. Au début des années 1970, une véritable fascination pour la culture architecturale italienne saisit les Français, attentifs aux nouveaux discours sur l’urbanité et sur l’histoire. Une perspective s’ouvrit ainsi pour le dépassement du fossé existant, un nouveau modèle conduisant les architectes à se penser comme concepteurs et comme intellectuels.
Le livre restitue en particulier les trajectoires d’Ernesto Nathan Rogers, Aldo Rossi, Vittorio Gregotti et Manfredo Tafuri, tout autant que celles des italophiles comme Bernard Huet ou Philippe Panerai.
Un ouvrage de référence pour comprendre la césure entre les architectes et les intellectuels
CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE
- « Ce livre est la réédition d’un ouvrage paru en 1984, fruit d’une recherche financée par la Direction de l’Architecture (France), il garde toute son actualité et son questionnement. » - (Archicool. Magazine d’architectures)
- « Cet ouvrage richement illustre a d’autant moins vieilli que son auteur s’est plu à scrupuleusement réactualiser son appareil de notes tout en ne touchant (presque) pas à son texte ajoutant simplement quelques "remarques rétrospectives" qui retracent utilement le chemin parcouru en trente ans. Structuralo-marxiste il était, structuralo-marxiste il demeure ? Oui, quelque part entre l’Hudson et la rue des Ecoles, I’habitude des ponts frontaliers sans doute. - (Jean-Louis Violeau, Revue Urbanisme)
- « Initialement publie en 1984, ce travail de recherche, réalisé par un jeune architecte-historien pour la direction de l'Architecture du ministere de la Culture et de l'Environnement, rend compte de l'état du milieu de l'architecture en France dans les années 1970 des points de vue pratique et théorique. » - (Archiscopie)
A PROPOS DE L'AUTEUR
Né en 1949 à Paris, Jean-Louis Cohen est architecte et historien. Il est Professeur à l’École d’architecture Paris-Villemin et à l’Institute of Fine Arts de l’Université de New York.
Dans cet ouvrage initialement publié en 1984 et rapidement devenu introuvable, Jean-Louis Cohen analyse un moment-clé pour la théorie et la pratique de l’architecture contemporaine, marqué par les échanges intenses des années 1970 entre l’Italie et la France. Il en fut à la fois l’un des témoins et l’un des acteurs.
Cette chronique permet de découvrir les causes et les effets de la coupure constatée entre les architectes et les intellectuels en France, depuis la moitié du XIXe siècle, au travers d’une réflexion sur les rares contacts qu’ils entretinrent et d’une réflexion sur les malentendus qui jalonnèrent leurs rapports.
Cette coupure est rendue particulièrement patente par la confrontation des situations respectives de la France et de l’Italie. Au début des années 1970, une véritable fascination pour la culture architecturale italienne saisit les Français, attentifs aux nouveaux discours sur l’urbanité et sur l’histoire. Une perspective s’ouvrit ainsi pour le dépassement du fossé existant, un nouveau modèle conduisant les architectes à se penser comme concepteurs et comme intellectuels.
Le livre restitue en particulier les trajectoires d’Ernesto Nathan Rogers, Aldo Rossi, Vittorio Gregotti et Manfredo Tafuri, tout autant que celles des italophiles comme Bernard Huet ou Philippe Panerai.
Un ouvrage de référence pour comprendre la césure entre les architectes et les intellectuels
CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE
- « Ce livre est la réédition d’un ouvrage paru en 1984, fruit d’une recherche financée par la Direction de l’Architecture (France), il garde toute son actualité et son questionnement. » - (Archicool. Magazine d’architectures)
- « Cet ouvrage richement illustre a d’autant moins vieilli que son auteur s’est plu à scrupuleusement réactualiser son appareil de notes tout en ne touchant (presque) pas à son texte ajoutant simplement quelques "remarques rétrospectives" qui retracent utilement le chemin parcouru en trente ans. Structuralo-marxiste il était, structuralo-marxiste il demeure ? Oui, quelque part entre l’Hudson et la rue des Ecoles, I’habitude des ponts frontaliers sans doute. - (Jean-Louis Violeau, Revue Urbanisme)
- « Initialement publie en 1984, ce travail de recherche, réalisé par un jeune architecte-historien pour la direction de l'Architecture du ministere de la Culture et de l'Environnement, rend compte de l'état du milieu de l'architecture en France dans les années 1970 des points de vue pratique et théorique. » - (Archiscopie)
A PROPOS DE L'AUTEUR
Né en 1949 à Paris, Jean-Louis Cohen est architecte et historien. Il est Professeur à l’École d’architecture Paris-Villemin et à l’Institute of Fine Arts de l’Université de New York.