Trois ans en 40 e-bog
25,00 DKK
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Le village de Vierzon au coeur de la Seconde Guerre mondiale.Trois ans en 40 est le récit de mon enfance à Vierzon, durant la Seconde Guerre mondiale. Ma famille travaillait pour la verrerie de Vierzon-Forges depuis plusieurs générations. L’histoire de Vierzon, petit ville du Berry à trente kilomètres de Bourges, entre 1940 et 1945, est illustrée par les souvenirs précis et colorés que j’ai con...
E-bog
25,00 DKK
Forlag
Publishroom
Udgivet
17 maj 2018
Genrer
BGHA
Sprog
French
Format
epub
Beskyttelse
LCP
ISBN
9791023608632
Le village de Vierzon au coeur de la Seconde Guerre mondiale.
Trois ans en 40 est le récit de mon enfance à Vierzon, durant la Seconde Guerre mondiale. Ma famille travaillait pour la verrerie de Vierzon-Forges depuis plusieurs générations. L’histoire de Vierzon, petit ville du Berry à trente kilomètres de Bourges, entre 1940 et 1945, est illustrée par les souvenirs précis et colorés que j’ai conservés de cette époque, entre Allemands et maquisards, entre anecdotes et témoignages, entre douceur et violence. J’ai veillé par un travail auprès des archives de Vierzon à vérifier et préciser tous les événements cités, et à rendre la peinture de cette époque la plus limpide possible aux jeunes lecteurs, ignorant ce qu’ont vécu leurs aînés.
Découvrez un témoignage inédit et plongez dans des souvenirs précis et colorés : entre Allemands et maquisards, entre anecdotes et témoignages, entre douceur et violence.
EXTRAIT
Mon père a participé à la Première Guerre mondiale du 13 avril 1915 au 18 septembre 1919 (date de retour dans ses foyers), sous le matricule 11862, en tant que « musicien-brancardier » (ce sont les termes exacts). Il a connu toutes les horreurs de cette guerre, les tranchées reliées entre elles par des boyaux, la vie dans la boue dans des casemates protégées par des sacs de sable, le manque d’hygiène et de nourriture (il conserva toute sa vie un dégoût des sardines à l’huile trop souvent au menu durant cette période). Le nom de « poilus » vient du fait que les soldats ne se rasaient plus. Papa s’en est sorti à moindre mal : gazé à l’ypérite, gaz de combat asphyxiant et vésicant employé par les Allemands appelé aussi gaz moutarde à cause de son odeur, et évacué le 24 octobre 1917 pour « congélation des pieds » (là aussi c’était le terme employé).
À PROPOS DE L'AUTEUR
Née en 1937 dans le Berry, Raymonde Pouplier-Buy a vécu à Vierzon, petite ville du Cher, jusqu’à l’âge de 20 ans. Puis, admise en tête d’un concours de la Fonction publique, elle a fait toute sa carrière à Paris. Elle a toujours aimé écrire mais a attendu l’âge de 80 ans pour sortir son premier livre de souvenirs.
Trois ans en 40 est le récit de mon enfance à Vierzon, durant la Seconde Guerre mondiale. Ma famille travaillait pour la verrerie de Vierzon-Forges depuis plusieurs générations. L’histoire de Vierzon, petit ville du Berry à trente kilomètres de Bourges, entre 1940 et 1945, est illustrée par les souvenirs précis et colorés que j’ai conservés de cette époque, entre Allemands et maquisards, entre anecdotes et témoignages, entre douceur et violence. J’ai veillé par un travail auprès des archives de Vierzon à vérifier et préciser tous les événements cités, et à rendre la peinture de cette époque la plus limpide possible aux jeunes lecteurs, ignorant ce qu’ont vécu leurs aînés.
Découvrez un témoignage inédit et plongez dans des souvenirs précis et colorés : entre Allemands et maquisards, entre anecdotes et témoignages, entre douceur et violence.
EXTRAIT
Mon père a participé à la Première Guerre mondiale du 13 avril 1915 au 18 septembre 1919 (date de retour dans ses foyers), sous le matricule 11862, en tant que « musicien-brancardier » (ce sont les termes exacts). Il a connu toutes les horreurs de cette guerre, les tranchées reliées entre elles par des boyaux, la vie dans la boue dans des casemates protégées par des sacs de sable, le manque d’hygiène et de nourriture (il conserva toute sa vie un dégoût des sardines à l’huile trop souvent au menu durant cette période). Le nom de « poilus » vient du fait que les soldats ne se rasaient plus. Papa s’en est sorti à moindre mal : gazé à l’ypérite, gaz de combat asphyxiant et vésicant employé par les Allemands appelé aussi gaz moutarde à cause de son odeur, et évacué le 24 octobre 1917 pour « congélation des pieds » (là aussi c’était le terme employé).
À PROPOS DE L'AUTEUR
Née en 1937 dans le Berry, Raymonde Pouplier-Buy a vécu à Vierzon, petite ville du Cher, jusqu’à l’âge de 20 ans. Puis, admise en tête d’un concours de la Fonction publique, elle a fait toute sa carrière à Paris. Elle a toujours aimé écrire mais a attendu l’âge de 80 ans pour sortir son premier livre de souvenirs.