La correspondance entre Louis Dantin et la « jeunesse littéraire » des années 1930 e-bog
223,05 DKK
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Un nouveau pan de l’extraordinaire correspondance du critique et écrivain Louis Dantin est désormais mis au grand jour grâce à ce deuxième tome rassemblant plus de 300 lettres, pour la plupart inédites, échangées avec la « jeunesse littéraire » des années 1930. Ces sept correspondances livrent un tableau saisissant de ce qu’il est convenu d’appeler la « première modernité littéraire » au Québec...
E-bog
223,05 DKK
Udgivet
13 april 2022
Længde
560 sider
Genrer
DQ
Sprog
French
Format
pdf
Beskyttelse
LCP
ISBN
9782763756837
Un nouveau pan de l’extraordinaire correspondance du critique et écrivain Louis Dantin est désormais mis au grand jour grâce à ce deuxième tome rassemblant plus de 300 lettres, pour la plupart inédites, échangées avec la « jeunesse littéraire » des années 1930. Ces sept correspondances livrent un tableau saisissant de ce qu’il est convenu d’appeler la « première modernité littéraire » au Québec par le regard de ceux et celles qui la façonnèrent : la nouvelle garde d’écrivains, d’écrivaines et d’éditeurs, et leur aîné.Ces correspondances dévoilent les arcanes d’un groupe étroitement lié par l’amitié littéraire, qu’Alfred DesRochers a appelé les « Individualistes de 1925 », tous nés autour de 1900 : Jovette Bernier, Robert Choquette, Alice Lemieux, Simone Routier et Éva Senécal. Elles sont précédées des lettres de deux grands acteurs de l’édition et de la critique du temps : Albert Lévesque et Albert Pelletier.Véritable chronique des années 1930, ces lettres donnent la parole aux acteurs et actrices incontournables du renouveau littéraire qui s’amorce alors, attestant entre autres de l’accession souvent périlleuse des femmes à l’écriture, de leurs luttes pour l’émancipation littéraire. De plus, elles témoignent du rôle stratégique d’Albert Lévesque comme principal éditeur littéraire, et d’Albert Pelletier comme critique incisif, souvent craint. Au centre de ce réseau, la figure de Louis Dantin se pose comme mentor, dont la « critique intime » a constitué un encouragement décisif pour cette jeune troupe, comme le lui confie Alice Lemieux : « J’ai dit si souvent, en France comme ici, que Dantin était notre seul critique. Les autres me coupaient les ailes […]. »