Calibres et massacre (e-bog) af Forcalquier, Balthazar

Calibres et massacre e-bog

65,85 DKK (inkl. moms 82,31 DKK)
Deux intrigues secouent la ville de Thouars.Deux intrigues secouent la ville de Thouars :Calibres - Soudain les patrons sont exécutés ! Les licenciements cessent ! Un crime absolument parfait s’invite pour l’occasion ! La mécanique du récit, comme celle d’une arme de précision, est implacable et fait mouche.Massacre - Pour prendre le pouvoir, l’extrême droite est prête à tout. La presse molle d...
E-bog 65,85 DKK
Forfattere Forcalquier, Balthazar (forfatter)
Udgivet 22 juni 2018
Genrer Crime and mystery fiction
Sprog French
Format epub
Beskyttelse LCP
ISBN 9791035301712
Deux intrigues secouent la ville de Thouars.

Deux intrigues secouent la ville de Thouars :
Calibres - Soudain les patrons sont exécutés ! Les licenciements cessent ! Un crime absolument parfait s’invite pour l’occasion ! La mécanique du récit, comme celle d’une arme de précision, est implacable et fait mouche.
Massacre - Pour prendre le pouvoir, l’extrême droite est prête à tout. La presse molle devient complice. Tout devient atroce. La vérité arrivera par des chemins de traverse grâce aux gens du voyage.
Nul besoin d’avoir lu le premier ouvrage Chroniques Noires à Thouars pour s’immerger dans ces aventures traversées par des anarchistes, des alcooliques, des lâches, des fachos, des salauds, de chics types. On peut se tremper tout vif dans ces pages toutes neuves qui mèneront Balthazar vers le noir désespoir. Et pourtant c’est drôle ! Quel cocktail !

Laissez-vous tenter par ce recueil de chroniques noires, et pourtant drôles... à découvrir !

EXTRAITS
Calibres - Michel Crapute était le patron d’une boîte sans syndicat, la RIGOMEX, qui fabriquait des petits ressorts. L’activité était florissante. Michel Crapute roulait en Porsche Cheyenne et avait sa carte de membre bienfaiteur au golf. Balthazar le connaissait peu, mais il l’avait croisé voici quelques jours ; et de curieuse manière. Les conditions de travail à la RIGOMEX étaient infernales, le personnel travaillait dans une poussière atroce, sans protection, car les évacuateurs étaient toujours en panne. Un intérimaire, qui n’aurait jamais dû venir là, alla se plaindre au contremaître, et fut mis dehors dans l’heure qui suivit. Et dans l’heure qui suivait il était devant Balthazar : « Faut faire un article ! c’est le Moyen Âge là-dedans ! »

Massacre -Le photographe fit la grimace, il n’avait pas grand-chose en archive : Balthazar ne venait pas aux arbres de Noël du journal, il n’était même pas venu chercher sa médaille du travail. Il y avait bien un vague cliché pour le départ en retraite de Jako Flanur, mais on le voyait au fond de la salle et il avait d’évidence déjà pas mal picolé… C’est con mais un journaliste prend cent photos par semaine et l’on n’a pas un cliché de lui. Le syndicat, sollicité, fournit finalement une photo d’identité en renâclant. Alors on fit appel au dessinateur du journal pour composer, comme une BD, les étapes balthazariennes : ses débuts dans d’obscures rédactions perdues en forêt ou abandonnées au fond des plaines, ses rancœurs, ses caprices, ses colères, sa solitude, ses ivresses, et, pour finir, une représentation fort émouvante du drame : Balthazar grimaçant au-dessus d’une fillette en sang.

À PROPOS DE L'AUTEUR

À Blois le journal local proposa à Philippe L’Excellent (alias Balthazar Forcalquier) un travail de journaliste. D’accord, beau métier ! Parthenay, Saumur, Thouars et quelques passages dans d’autres sous-préfectures ponctuent sa carrière à La Nouvelle République du Centre Ouest. Une ville est toujours une (petite) planète à explorer. Il vit à Thouars.