Lune de miel à la morgue e-bog
54,41 DKK
(inkl. moms 68,01 DKK)
L’inspecteur Dumontel revient pour une enquête où politique et meurtre sont étrangement mêlés...Quatrième tome de la série « Meurtres en Limousin », Lune de miel à la morgue présente un Dumontel affaibli, en proie à des doutes et à des démons qui le poursuivent depuis la mort de sa collègue Rachida. Une jeune fille vêtue d’une robe de mariée en organza est retrouvée morte au pied du monument au...
E-bog
54,41 DKK
Forlag
Geste Editions
Udgivet
6 december 2017
Genrer
Crime and mystery fiction
Sprog
French
Format
epub
Beskyttelse
LCP
ISBN
9782367469904
L’inspecteur Dumontel revient pour une enquête où politique et meurtre sont étrangement mêlés...
Quatrième tome de la série « Meurtres en Limousin », Lune de miel à la morgue présente un Dumontel affaibli, en proie à des doutes et à des démons qui le poursuivent depuis la mort de sa collègue Rachida. Une jeune fille vêtue d’une robe de mariée en organza est retrouvée morte au pied du monument aux morts de Cieux. Aucune trace de violence ou de sang et la jeune fille reste inconnue des services de police. Peu de temps après, une autre jeune fille est découverte dans la même mise en scène macabre.
Dumontel va devoir comprendre les raisons de cette mise en scène sordide et tenter de démêler les fils de ce jeu de marionnettes étrangement lié aux monuments aux morts et à la Grande Guerre.
C’est le 5e roman de Franck Linol chez Geste Éditions.
Franck Linol, comme à son habitude, mêle action, bon vin, réflexions philosophiques, politiques et déambulations dans les rues de Limoges et dans la campagne limousine.
EXTRAIT
Dumontel s’approcha, suivi par ses trois collègues et vit.
Le monument avait été installé le long du trottoir, avec une simple grille basse en fer forgé qui délimitait l’espace commémoratif. Une plaque en marbre avec l’inscription : « Aux veuves et orphelins victimes de la guerre. » On y voyait la statue d’une jeune femme − une paysanne − vêtue d’une capeline avec une capuche qui recouvrait sa tête. Au sol, des couronnes de fleurs et des graviers blancs.
La statue avait la tête penchée sur le côté et elle regardait vers le parterre. Ses yeux pétrifiés fixaient un corps allongé entre les deux couronnes.
Le corps d’une jeune femme habillée d’une robe de mariée en tulle ou en organza. L’étoffe était transparente, légère, un peu rigide et aux
reflets changeants. Son visage, recouvert d’un voile garni de petites perles, était blafard comme le brouillard de l’étang. Elle semblait dormir. Les deux
mains rassemblées sur sa poitrine tenaient deux fleurs artificielles : un coquelicot rouge au coeur noir et un un bleuet.
Une gisante.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Comme pour les précédents polars de Franck Linol, les pages tournent toutes seules. On rentre dans l'histoire, on retrouve avec délectation notre Limoges nimbé d'une atmosphère sombre et glauque, à l'unisson avec le spleen de Dumontel. - Christian Laine, Potentia Verborum
À PROPOS DE L'AUTEUR
Franck Linol est né à Limoges où il est aujourd’hui enseignant et formateur à l’IUFM. Grand amateur de romans policiers, il apprécie tout particulièrement les atmosphères d’Henning Mankell et l’expression du sentiment tragique de la vie chez Jean-Claude Izzo. Il avoue un réel attachement pour l’œuvre de René Frégni. Il s’est lancé dans l’écriture pour simplement raconter des histoires, mais aussi pour témoigner des dérives d’une société devenue dangereuse pour la liberté de chacun.
Quatrième tome de la série « Meurtres en Limousin », Lune de miel à la morgue présente un Dumontel affaibli, en proie à des doutes et à des démons qui le poursuivent depuis la mort de sa collègue Rachida. Une jeune fille vêtue d’une robe de mariée en organza est retrouvée morte au pied du monument aux morts de Cieux. Aucune trace de violence ou de sang et la jeune fille reste inconnue des services de police. Peu de temps après, une autre jeune fille est découverte dans la même mise en scène macabre.
Dumontel va devoir comprendre les raisons de cette mise en scène sordide et tenter de démêler les fils de ce jeu de marionnettes étrangement lié aux monuments aux morts et à la Grande Guerre.
C’est le 5e roman de Franck Linol chez Geste Éditions.
Franck Linol, comme à son habitude, mêle action, bon vin, réflexions philosophiques, politiques et déambulations dans les rues de Limoges et dans la campagne limousine.
EXTRAIT
Dumontel s’approcha, suivi par ses trois collègues et vit.
Le monument avait été installé le long du trottoir, avec une simple grille basse en fer forgé qui délimitait l’espace commémoratif. Une plaque en marbre avec l’inscription : « Aux veuves et orphelins victimes de la guerre. » On y voyait la statue d’une jeune femme − une paysanne − vêtue d’une capeline avec une capuche qui recouvrait sa tête. Au sol, des couronnes de fleurs et des graviers blancs.
La statue avait la tête penchée sur le côté et elle regardait vers le parterre. Ses yeux pétrifiés fixaient un corps allongé entre les deux couronnes.
Le corps d’une jeune femme habillée d’une robe de mariée en tulle ou en organza. L’étoffe était transparente, légère, un peu rigide et aux
reflets changeants. Son visage, recouvert d’un voile garni de petites perles, était blafard comme le brouillard de l’étang. Elle semblait dormir. Les deux
mains rassemblées sur sa poitrine tenaient deux fleurs artificielles : un coquelicot rouge au coeur noir et un un bleuet.
Une gisante.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Comme pour les précédents polars de Franck Linol, les pages tournent toutes seules. On rentre dans l'histoire, on retrouve avec délectation notre Limoges nimbé d'une atmosphère sombre et glauque, à l'unisson avec le spleen de Dumontel. - Christian Laine, Potentia Verborum
À PROPOS DE L'AUTEUR
Franck Linol est né à Limoges où il est aujourd’hui enseignant et formateur à l’IUFM. Grand amateur de romans policiers, il apprécie tout particulièrement les atmosphères d’Henning Mankell et l’expression du sentiment tragique de la vie chez Jean-Claude Izzo. Il avoue un réel attachement pour l’œuvre de René Frégni. Il s’est lancé dans l’écriture pour simplement raconter des histoires, mais aussi pour témoigner des dérives d’une société devenue dangereuse pour la liberté de chacun.