Que Dieu me pardonne e-bog
65,85 DKK
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Un drame suffit pour faire entrer en collision deux univers que tout oppose…Ici, une banlieue tranquille, un quartier résidentiel et ses somptueuses maisons dans lesquelles le gratin de la ville coule des jours paisibles… À quelques encablures, une petite cité, grise et crasseuse. Avec sa bande de jeunes désœuvrés qui végètent du matin au soir. Deux univers qui se frôlent sans jamais se toucher...
E-bog
65,85 DKK
Forlag
Jigal
Udgivet
15 november 2017
Genrer
Crime and mystery fiction
Sprog
French
Format
epub
Beskyttelse
LCP
ISBN
9782377220250
Un drame suffit pour faire entrer en collision deux univers que tout oppose…
Ici, une banlieue tranquille, un quartier résidentiel et ses somptueuses maisons dans lesquelles le gratin de la ville coule des jours paisibles… À quelques encablures, une petite cité, grise et crasseuse. Avec sa bande de jeunes désœuvrés qui végètent du matin au soir. Deux univers qui se frôlent sans jamais se toucher. D’un côté, il y a Kader, le roi de la glande et des petits trafics, Mélissa, la belle plante qui rêve d’une vie meilleure… De l’autre, Rayan, le bourgeois fortuné mais un peu détraqué… Et au milieu, Mattis, le flic ténébreux, toujours en quête de rédemption. Une cohorte d’âmes égarées qui n’auraient jamais dû se croiser… Des destins qui s’emmêlent, des illusions perdues, des espoirs envolés… Et puis, cette petite mécanique qui se met en place comme une marche funèbre… implacable !
Suspense et fracture sociale s’entremêlent dans ce polar pas comme les autres !
EXTRAIT
Le quartier ne ressemblait en rien aux grandes barres bétonnées de la Seine-Saint-Denis. C’était une cité à hauteur d’hommes, plantée près d’une forêt domaniale. Et même si les façades s’étaient dépréciées au fil des années, laissant apparaître une couche de crasse tenace, et que l’entretien des espaces extérieurs ne s’effectuait qu’au bout de nombreuses relances, cette cité semblait jouir d’une certaine réputation. Seuls quelques éléments perturbateurs, dont Kader, donnaient du grain à moudre aux forces de police. Rien de bien méchant en vérité, des actes d’incivisme, un peu de deal de shit et des vols de scooters. Dan frappa vigoureusement à la porte de l’appartement des parents de Kader.
— T’aurais pu sonner, commenta Mattis.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Difficile de lâcher ce bouquin tant Philippe Hauret avec ses personnages criants de vérité vous entraîne dans leur désespoir, leur ennui, leur mal de vivre… Philippe Hauret, nouvelle belle voix du roman noir social. - Nyctalopes
Un train lancé à grande vitesse… Un roman de désespoir… Un grand roman noir - Dora Suarez
À mi-chemin entre le thriller et le roman policier, Que Dieu me pardonne se révèle être un page-turner d’excellente facture. Le rythme est enlevé, et Philippe Hauret contrôle de bout en bout la spirale mortifère implacable dans laquelle certains de ses personnages vont sombrer. Que Dieu me pardonne est un véritable petit régal ! - La Cause littéraire
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né en 1963 à Chamalières, Philippe Hauret passe son enfance sur la Côte d’Azur, entre Nice et Saint-Tropez. Après le divorce de ses parents et d’incessants déménagements, il échoue en banlieue sud parisienne. Sa scolarité est chaotique, seuls le français et la littérature le passionnent. En autodidacte convaincu, il quitte l’école et vit de petits boulots, traîne la nuit dans les bars, et soigne ses lendemains de cuite en écrivant de la poésie et des bouts de romans. Il voyage ensuite en Europe, avant de trouver sa voie en entrant à l’université. Après avoir longtemps occupé la place de factotum, il est maintenant bibliothécaire. Quand il n’écrit pas, Philippe Hauret se replonge dans ses auteurs favoris, Fante, Carver, Bukowski, joue de la guitare, regarde des films ou des séries, noirs, de préférence.
Ici, une banlieue tranquille, un quartier résidentiel et ses somptueuses maisons dans lesquelles le gratin de la ville coule des jours paisibles… À quelques encablures, une petite cité, grise et crasseuse. Avec sa bande de jeunes désœuvrés qui végètent du matin au soir. Deux univers qui se frôlent sans jamais se toucher. D’un côté, il y a Kader, le roi de la glande et des petits trafics, Mélissa, la belle plante qui rêve d’une vie meilleure… De l’autre, Rayan, le bourgeois fortuné mais un peu détraqué… Et au milieu, Mattis, le flic ténébreux, toujours en quête de rédemption. Une cohorte d’âmes égarées qui n’auraient jamais dû se croiser… Des destins qui s’emmêlent, des illusions perdues, des espoirs envolés… Et puis, cette petite mécanique qui se met en place comme une marche funèbre… implacable !
Suspense et fracture sociale s’entremêlent dans ce polar pas comme les autres !
EXTRAIT
Le quartier ne ressemblait en rien aux grandes barres bétonnées de la Seine-Saint-Denis. C’était une cité à hauteur d’hommes, plantée près d’une forêt domaniale. Et même si les façades s’étaient dépréciées au fil des années, laissant apparaître une couche de crasse tenace, et que l’entretien des espaces extérieurs ne s’effectuait qu’au bout de nombreuses relances, cette cité semblait jouir d’une certaine réputation. Seuls quelques éléments perturbateurs, dont Kader, donnaient du grain à moudre aux forces de police. Rien de bien méchant en vérité, des actes d’incivisme, un peu de deal de shit et des vols de scooters. Dan frappa vigoureusement à la porte de l’appartement des parents de Kader.
— T’aurais pu sonner, commenta Mattis.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Difficile de lâcher ce bouquin tant Philippe Hauret avec ses personnages criants de vérité vous entraîne dans leur désespoir, leur ennui, leur mal de vivre… Philippe Hauret, nouvelle belle voix du roman noir social. - Nyctalopes
Un train lancé à grande vitesse… Un roman de désespoir… Un grand roman noir - Dora Suarez
À mi-chemin entre le thriller et le roman policier, Que Dieu me pardonne se révèle être un page-turner d’excellente facture. Le rythme est enlevé, et Philippe Hauret contrôle de bout en bout la spirale mortifère implacable dans laquelle certains de ses personnages vont sombrer. Que Dieu me pardonne est un véritable petit régal ! - La Cause littéraire
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né en 1963 à Chamalières, Philippe Hauret passe son enfance sur la Côte d’Azur, entre Nice et Saint-Tropez. Après le divorce de ses parents et d’incessants déménagements, il échoue en banlieue sud parisienne. Sa scolarité est chaotique, seuls le français et la littérature le passionnent. En autodidacte convaincu, il quitte l’école et vit de petits boulots, traîne la nuit dans les bars, et soigne ses lendemains de cuite en écrivant de la poésie et des bouts de romans. Il voyage ensuite en Europe, avant de trouver sa voie en entrant à l’université. Après avoir longtemps occupé la place de factotum, il est maintenant bibliothécaire. Quand il n’écrit pas, Philippe Hauret se replonge dans ses auteurs favoris, Fante, Carver, Bukowski, joue de la guitare, regarde des films ou des séries, noirs, de préférence.