L' année où Rosetta a été tuée e-bog
64,22 DKK
(inkl. moms 80,28 DKK)
« Pourquoi rouvre-t-on cette affaire si longtemps après ? Sûrement un ordre d’en haut. Le préfet ? Un député ? Le président de la République ? Le pape ? Inutile d’y penser. Il faut respecter la consigne de la plus grande discrétion ! Le seul à connaître la véritable raison de ma présence, c’est ce maire logorrhéique, un vrai moulin à paroles. Pourtant je n’ai pas le choix, ses propos sont le se...
E-bog
64,22 DKK
Forlag
Odile Jacob
Udgivet
14 april 2011
Længde
196 sider
Genrer
Thriller / suspense fiction
Sprog
French
Format
epub
Beskyttelse
LCP
ISBN
9782738195104
« Pourquoi rouvre-t-on cette affaire si longtemps après ? Sûrement un ordre d’en haut. Le préfet ? Un député ? Le président de la République ? Le pape ? Inutile d’y penser. Il faut respecter la consigne de la plus grande discrétion ! Le seul à connaître la véritable raison de ma présence, c’est ce maire logorrhéique, un vrai moulin à paroles. Pourtant je n’ai pas le choix, ses propos sont le seul moyen de reconstituer ce qui s’est passé l’année où Rosetta a été tuée : le seul espoir de découvrir quelque chose. Je ne peux qu’écouter. »Dans un village perdu du Piémont, un commissaire enquête sur la mort tragique de Rosetta survenue quelque vingt ans plus tôt. Affaire de famille ? Crime politique ? Fausses pistes, renseignements sibyllins, mythologie locale — l’enquête progresse tant bien que mal dans un milieu hostile et fermé. Pénétrant peu à peu dans le labyrinthe du passé qu’on a effacé à dessein, parviendra-t-on à reconstituer la vérité ?« Perissinotto joue des clairs-obscurs, des atmosphères de déliquescence, met en images des mélancolies lointaines. Tel Simenon ou comme l’Islandais Arnaldur Indridason, le Turinois a fait le choix du roman à énigmes pour appréhender le côté obscur de notre monde, ses défaillances, ses injustices, ses abominations. » Télérama.Alessandro Perissinotto est professeur de sémiologie à l’Université de Turin. Il est notamment l’auteur de La Chanson de Colombano, d’À mon juge et de La Dernière Nuit blanche.