Le Mystérieux Docteur Cornélius 5 (Le Mystérieux Docteur Cornélius #5) e-bog
Les lords maléfiques de la Main Rouge sévissent à nouveau. Cornélius, Baruch et Fritz rêvent d'éliminer leurs ennemis les plus chers, toujours sur le qui-vive pour déjouer leurs plans. Cette fois-ci, la science les aidera plus que jamais…
La nuit dans Oyster Bay, les navires font naufrages suite à de terribles tempêtes qui ne préviennent pas ; une tour au secret bien gardé effraie quiconque s'en approche ; les identités sont changés ; les mémoires se perdent ; et les morts revivent…
Ce dernier tome du « Mystérieux Docteur Cornélius » ferme de la plus grandiose des manières une série légendaire, et un chef-d'œuvre merveilleux-scientifique à qui s'allient tous les genres. Gustave Le Rouge s'impose ainsi en maître du roman-feuilleton, et en géant du genre policier au XXe.
Le Mystérieux Docteur Cornélius
Les aventures du docteur Cornélius constituent sans conteste le plus grand roman policier du début du XXe siècle. De New York en Bretagne, du Grand Ouest sauvage américain à l'île des Pendus, Gustave Le Rouge fait voyager dans le monde entier ; mais aussi dans les genres. Il mêle la science au policier, le roman-feuilleton au roman d'aventures.
Il met en scène un des personnages iconiques de la littérature française : Cornélius, un savant fou aux projets machiavéliques, capable de transformer par la chirurgie les traits de n'importe quel homme grâce à son invention : « la carnoplastie ».
Gustave Le Rouge (1867-1938) est un auteur prolifique dans les genres. Ses premiers romans suivent les pas de Jules Vernes (« Le Sous-marin “Jules Verne” », 1902). Il se tourne rapidement vers le roman de science-fiction où les progrès technologiques et médicaux sont au cœur des intrigues (« Le Prisonnier de la planète Mars », 1908 ; « Le Mystérieux Docteur Cornélius » (1912-1913), bien que Le Rouge y récuse tout souci de vraisemblance scientifique. À bien des égards, on peut comparer cet auteur populaire à d’autres de sa trempe : Maurice Leblanc, Gaston Leroux et Maurice Renard.