LUST Classics : Pybrac (e-bog) af Pierre Louÿs
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Pierre Louÿs (forfatter)

LUST Classics : Pybrac (LUST Classics) e-bog

25,00 DKK (inkl. moms 31,25 DKK)
« Pybrac » est un recueil de 313 quatrains érotiques publié clandestinement en 1927 après la mort de l’auteur. Les quatrains espiègles, pour ne pas dire hilarants, commencent par le même début « Je n’aime pas à voir », provocant un effet quasi hypnotique de ces véritables mantras pornographiques. S’en suit en effet un déluge d’obscénités d’une inventivité apparemment sans limites. Le nom énigma...
E-bog 25,00 DKK
Forfattere Pierre Louÿs (forfatter)
Forlag LUST
Udgivet 11 november 2020
Længde 80 sider
Genrer
Sprog French
Format epub
Beskyttelse Vandmærket
ISBN 9788726297515
« Pybrac » est un recueil de 313 quatrains érotiques publié clandestinement en 1927 après la mort de l’auteur. Les quatrains espiègles, pour ne pas dire hilarants, commencent par le même début « Je n’aime pas à voir », provocant un effet quasi hypnotique de ces véritables mantras pornographiques. S’en suit en effet un déluge d’obscénités d’une inventivité apparemment sans limites. Le nom énigmatique de l’ouvrage renverrait au magistrat et poète toulousain Guy du Faur de Pibrac, auteur d’un recueil de quatrains moralisateurs, que Pierre Louÿs parodie ainsi en une fantaisie érotique inspirée et fougueuse, exploitant tous les vices.

LUST Classics est une collection de classiques de la littérature érotique. Les œuvres qui la composent ont été sélectionnées en raison de leur apport historique majeur au genre et ce malgré des contenus parfois susceptibles de choquer et d’être polémiques. Pierre Louÿs (1870 – 1925) est un poète et romancier français, nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1909. Du Parnasse et du symbolisme il a retenu la sensualité païenne et le goût de la beauté. Sa volonté de connaître et de décrire toutes les formes d’amour s’affirme dans son œuvre érotique. De son chef-d’œuvre, « La Femme et le pantin », inspiré des mémoires de Casanova, seront tirés une pièce puis plusieurs films et son article « Molière est un chef-d'œuvre de Corneille » (1919) ouvrit le débat de la paternité des œuvres de Molière.