De nos morts... vivons ! e-bog
25,00 DKK
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L’étrange dernière rencontre d’un éditeur sceptique et de son auteur à succès...Ce premier livre, que je vous suggère de prendre pour le premier chapitre d’une œuvre plus large, regardez-le comme une épure. Il retrace l’étrange dernière rencontre d’un éditeur sceptique et de son auteur à succès… Ils se retrouvent bouleversés lors d’un échange d’une teneur que rien n’annonçait, de sorte qu’ils n...
E-bog
25,00 DKK
Forlag
Publishroom
Udgivet
20 april 2018
Genrer
Saga fiction (family / generational sagas)
Sprog
French
Format
epub
Beskyttelse
LCP
ISBN
9791023608267
L’étrange dernière rencontre d’un éditeur sceptique et de son auteur à succès...
Ce premier livre, que je vous suggère de prendre pour le premier chapitre d’une œuvre plus large, regardez-le comme une épure. Il retrace l’étrange dernière rencontre d’un éditeur sceptique et de son auteur à succès… Ils se retrouvent bouleversés lors d’un échange d’une teneur que rien n’annonçait, de sorte qu’ils ne peuvent « enfin » se sentir soulagés mais soulagés tout de même.
Quentin, éditeur, a vainement tenté d’écrire son autobiographie, un projet que lui arrache son plus cher auteur dans une tentative tout aussi vaine. Une femme paraît (les prochains livres nous apprendront qui elle est et ce que deviendra ce livre)… Un livre d’abord sans écriture car ici seule compte et parle à l’auteur sa nouvelle écriture lorsqu’elle lui devient impossible.
A travers ce premier chapitre, plongez-vous dans une saga poétique et littéraire !
EXTRAIT
Seul, je m'attardais à suivre leur éloignement, je me figeais à leur allure, trop arrangée pour ne pas être parlante, et puisque mes pensées me retenaient d'aller au-devant d‘eux, à distance je me laissais entraîner par la transparence de leur esprit vers ce qu'ils cristallisaient. J'écartais cette femme qui marchait devant lui mais que plus rien ne colorait. Je m‘arrêtais au silence de leur séparation, lui portant une attention plus délicate que la tendresse ressentie par un prêtre à une quelconque célébration. Je fixais Quentin tandis qu'ils restaient un dernier instant à se dévisager; de son regard familier je m'attirais ses volontés de recouvrer nos bavardages passés. Enfin, je me levais et sortais seul, le regard fugacement tourné vers un homme autrement brisé qui s‘empressait de prendre place dans ce décor desséché.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Rien ne prédestinait Adel Benabdallah à l’écriture. Né dans un milieu populaire, sans livres, mais riche en histoires, il a aujourd’hui 45 ans, et écrit ce qui lui était venu lorsqu’il en avait 20. Au lecteur, il demande de porter à ce livre l’attention que réclame son écriture. Elle est celle d’un homme qui d’abord inculte, se reprend au terme de deux décennies d’un progrès qui ne l’auront avancé en rien.
Ce premier livre, que je vous suggère de prendre pour le premier chapitre d’une œuvre plus large, regardez-le comme une épure. Il retrace l’étrange dernière rencontre d’un éditeur sceptique et de son auteur à succès… Ils se retrouvent bouleversés lors d’un échange d’une teneur que rien n’annonçait, de sorte qu’ils ne peuvent « enfin » se sentir soulagés mais soulagés tout de même.
Quentin, éditeur, a vainement tenté d’écrire son autobiographie, un projet que lui arrache son plus cher auteur dans une tentative tout aussi vaine. Une femme paraît (les prochains livres nous apprendront qui elle est et ce que deviendra ce livre)… Un livre d’abord sans écriture car ici seule compte et parle à l’auteur sa nouvelle écriture lorsqu’elle lui devient impossible.
A travers ce premier chapitre, plongez-vous dans une saga poétique et littéraire !
EXTRAIT
Seul, je m'attardais à suivre leur éloignement, je me figeais à leur allure, trop arrangée pour ne pas être parlante, et puisque mes pensées me retenaient d'aller au-devant d‘eux, à distance je me laissais entraîner par la transparence de leur esprit vers ce qu'ils cristallisaient. J'écartais cette femme qui marchait devant lui mais que plus rien ne colorait. Je m‘arrêtais au silence de leur séparation, lui portant une attention plus délicate que la tendresse ressentie par un prêtre à une quelconque célébration. Je fixais Quentin tandis qu'ils restaient un dernier instant à se dévisager; de son regard familier je m'attirais ses volontés de recouvrer nos bavardages passés. Enfin, je me levais et sortais seul, le regard fugacement tourné vers un homme autrement brisé qui s‘empressait de prendre place dans ce décor desséché.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Rien ne prédestinait Adel Benabdallah à l’écriture. Né dans un milieu populaire, sans livres, mais riche en histoires, il a aujourd’hui 45 ans, et écrit ce qui lui était venu lorsqu’il en avait 20. Au lecteur, il demande de porter à ce livre l’attention que réclame son écriture. Elle est celle d’un homme qui d’abord inculte, se reprend au terme de deux décennies d’un progrès qui ne l’auront avancé en rien.