Le Roman de la Momie (e-bog) af Prosper Mérimée
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Prosper Mérimée (forfatter)

Le Roman de la Momie e-bog

59,88 DKK (inkl. moms 74,85 DKK)
Aux abords du Nil, dans la vallée des Rois, un jeune aristocrate anglais et un égyptologue allemand font la découverte d'un tombeau jusqu'alors scellé depuis 3 500 ans. A l'intérieur, gît la momie impeccablement conservée d'une jeune fille à la beauté bouleversante. A ses côtés, un papyrus raconte son histoire au temps des Pharaons. Elle s'appelle Tahoser, est fille d'un grand prêtre d'Egypte, ...
E-bog 59,88 DKK
Forfattere Prosper Mérimée (forfatter)
Forlag SAGA Egmont
Udgivet 31 marts 2021
Længde 325 sider
Genrer Historical fiction
Sprog French
Format epub
Beskyttelse Vandmærket
ISBN 9788726794571
Aux abords du Nil, dans la vallée des Rois, un jeune aristocrate anglais et un égyptologue allemand font la découverte d'un tombeau jusqu'alors scellé depuis 3 500 ans. A l'intérieur, gît la momie impeccablement conservée d'une jeune fille à la beauté bouleversante. A ses côtés, un papyrus raconte son histoire au temps des Pharaons. Elle s'appelle Tahoser, est fille d'un grand prêtre d'Egypte, et elle voue un amour inconditionnel pour un hébreux, esclave de Pharaon. Un Pharaon qui, riche et puissant, saura manifester sa jalousie.
Théophile Gautier reconstitue, grâce à l'imagination et une documentation précise, une Egypte antique qu'il romance en une œuvre révélatrice de la splendeur de la civilisation du Nil. Théophile Gautier (1811-1872) est destiné à une carrière de peintre, mais une rencontre décisive avec Victor Hugo lui donne un fort goût pour la littérature. Victor Hugo lui prêtera sa tendance au romantique, qu’il défendra par ailleurs dans la fameuse bataille d’Hernani, le 25 février 1830, contre le classicisme. En 1831, il participe au petit cénacle, cercle littéraire qui lui fait rencontrer Nerval. Il publie cette année là son premier conte fantastique «La Cafetière», genre qu’il utilisera aussi dans «Avatar» en 1856, et «Le Roman de la momie» en 1858. En 1852, il publie «Émaux et Camées», un recueil de vers qu’il continue de travailler jusqu’en 1872. Il lui vaudra l’admiration de Baudelaire qui lui dédie «Les Fleurs du Mal».