Les Larmes d'Adam e-bog
63,40 DKK
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Pour son premier roman, Robert Maltais nous plonge dans l’univers clos de l’abbaye cistercienne de La Ferté en France. Le Québécois Gilbert Fortin, alias Dom Gilbert, n’a pas la foi mais dirige tout de même cette abbaye depuis six ans. Paradoxal ? Attendez de lire la suite car il y est aussi question d’un jeune novice ayant un don qui pourrait se monnayer et d’un maître des novices qui aime dés...
E-bog
63,40 DKK
Forlag
Quebec Amerique
Udgivet
5 februar 2013
Længde
192 sider
Genrer
Religious and spiritual fiction
Sprog
French
Format
epub
Beskyttelse
LCP
ISBN
9782764419298
Pour son premier roman, Robert Maltais nous plonge dans l’univers clos de l’abbaye cistercienne de La Ferté en France. Le Québécois Gilbert Fortin, alias Dom Gilbert, n’a pas la foi mais dirige tout de même cette abbaye depuis six ans. Paradoxal ? Attendez de lire la suite car il y est aussi question d’un jeune novice ayant un don qui pourrait se monnayer et d’un maître des novices qui aime désespérément Satan.Personnages bigarrés, écriture alerte, métaphore biblique, Robert Maltais frappe un grand coup avec ce roman où le cynisme côtoie allègrement les voies impénétrables du Seigneur…À plus de 50 ans et à la tête de 40 hommes, Dom Gilbert dirige l’abbaye cistercienne de La Ferté malgré son absence de foi. Gilbert Fortin, car c’est son vrai nom, a la situation bien en main. La dissimulation, c’est son affaire et aucun scrupule ne peut le contraindre à agir autrement. Mais voilà qu’il est pris d’un mal subit qui le conduit à l’hôpital. Les médecins ne donnent pas cher de sa vie. Une guérison miraculeuse survient. Serait-ce l’œuvre du jeune novice Ouriel ? En l’absence du père abbé, ce dernier est livré en pâture au vindicatif frère Jean-Daniel, qui voudra lui faire un mauvais parti. La presse écrite s’en mêle et bientôt ce sont les caméras de télévision qui vont s’intéresser au phénomène de La Ferté. Quant à notre miraculé, il ne reste pas insensible aux charmes de l’infirmière qui le lui rend bien. Est-ce le monde à l’envers ? ou est-ce plutôt le sentiment humain qui se perpétue et ce, depuis l’épisode du jardin d’Éden ?