Le Nid de Rossignols (e-bog) af Théophile Gautier
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Théophile Gautier (forfatter)

Le Nid de Rossignols e-bog

35,06 DKK (inkl. moms 43,82 DKK)
Au printemps, les oiseaux du parc chantaient à tue-tête. Chaque arbre était un orchestre à lui seul. Les oiseaux étaient aussi mélodieux que n'importe quel musicien.Au château, deux cousines chantaient mieux encore. On les appelait Fleurette et Isabeau. Leur fenêtre donnant sur le parc, elles avaient appris toute petite, grâce aux oiseaux, l'art de la voix.Un soir de mai, alors que le deux cous...
E-bog 35,06 DKK
Forfattere Théophile Gautier (forfatter)
Forlag SAGA Egmont
Udgivet 4 juni 2021
Længde 8 sider
Genrer Short stories
Sprog French
Format epub
Beskyttelse Vandmærket
ISBN 9788726861310
Au printemps, les oiseaux du parc chantaient à tue-tête. Chaque arbre était un orchestre à lui seul. Les oiseaux étaient aussi mélodieux que n'importe quel musicien.
Au château, deux cousines chantaient mieux encore. On les appelait Fleurette et Isabeau. Leur fenêtre donnant sur le parc, elles avaient appris toute petite, grâce aux oiseaux, l'art de la voix.
Un soir de mai, alors que le deux cousines vocalisaient, un rossignol se présenta à leur fenêtre et demanda un combat de chant. Agréablement surprises, Fleurette et Isabeau acceptèrent.

Publiée pour la première fois en 1833 dans «L'Amulette, étrennes à nos jeunes amis», la nouvelle fantastique «Le Nid de Rossignol» raconte la tragique histoire d'un rossignol et de deux cousines. Théophile Gautier (1811-1872) est destiné à une carrière de peintre, mais une rencontre décisive avec Victor Hugo lui donne un fort goût pour la littérature. Victor Hugo lui prêtera sa tendance au romantique, qu’il défendra par ailleurs dans la fameuse bataille d’Hernani, le 25 février 1830, contre le classicisme. En 1831, il participe au petit cénacle, cercle littéraire qui lui fait rencontrer Nerval. Il publie cette année là son premier conte fantastique «La Cafetière», genre qu’il utilisera aussi dans «Avatar» en 1856, et «Le Roman de la momie» en 1858. En 1852, il publie «Émaux et Camées», un recueil de vers qu’il continue de travailler jusqu’en 1872. Il lui vaudra l’admiration de Baudelaire qui lui dédie «Les Fleurs du Mal».