Le Petit Chien de la Marquise (e-bog) af Théophile Gautier
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Théophile Gautier (forfatter)

Le Petit Chien de la Marquise e-bog

35,06 DKK (inkl. moms 43,82 DKK)
Fanfreluche occupe les pensées de toutes les dames de la région. Ce chien adorable, sans imperfection, un véritable flocon de laine blanche et soyeuse, est à peine plus gros que le poing de sa maîtresse la marquise.Parmi ses admiratrices compte Éliante, une belle et jeune comtesse. Jalouse, elle ne désir que Fanfreluche, ne rêve que de Fanfreluche, de ce charmant animal à la queue en trompette,...
E-bog 35,06 DKK
Forfattere Théophile Gautier (forfatter)
Forlag SAGA Egmont
Udgivet 4 juni 2021
Længde 35 sider
Genrer Short stories
Sprog French
Format epub
Beskyttelse Vandmærket
ISBN 9788726861303
Fanfreluche occupe les pensées de toutes les dames de la région. Ce chien adorable, sans imperfection, un véritable flocon de laine blanche et soyeuse, est à peine plus gros que le poing de sa maîtresse la marquise.
Parmi ses admiratrices compte Éliante, une belle et jeune comtesse. Jalouse, elle ne désir que Fanfreluche, ne rêve que de Fanfreluche, de ce charmant animal à la queue en trompette, de ce bichon aux oreilles frisées.
Si seulement un de ses soupirants pouvait l'obtenir, le voler, pour elle...

Parue en 1836 dans «Le Figaro», la nouvelle «Le Petit Chien de La Marquise» relate sur un ton humoristique le vol du pauvre Fanfreluche. Théophile Gautier (1811-1872) est destiné à une carrière de peintre, mais une rencontre décisive avec Victor Hugo lui donne un fort goût pour la littérature. Victor Hugo lui prêtera sa tendance au romantique, qu’il défendra par ailleurs dans la fameuse bataille d’Hernani, le 25 février 1830, contre le classicisme. En 1831, il participe au petit cénacle, cercle littéraire qui lui fait rencontrer Nerval. Il publie cette année là son premier conte fantastique «La Cafetière», genre qu’il utilisera aussi dans «Avatar» en 1856, et «Le Roman de la momie» en 1858. En 1852, il publie «Émaux et Camées», un recueil de vers qu’il continue de travailler jusqu’en 1872. Il lui vaudra l’admiration de Baudelaire qui lui dédie «Les Fleurs du Mal».