Mademoiselle Dafné (e-bog) af Théophile Gautier
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Théophile Gautier (forfatter)

Mademoiselle Dafné e-bog

35,06 DKK (inkl. moms 43,82 DKK)
À Paris on ne parle que de Mademoiselle Dafné, de sa façon de s'habiller si élégante, de ses cheveux blonds devenus roux, de ses yeux verts de mer...Et depuis peu, de sa disparition. Tout Paris la cherche activement et dans les moindres recoins. Certains la pensent enfouie au fond d'un monastère, d'autres l'imaginent en fuite faute de pouvoir payer ses dettes, mais peu d'entre eux ont vu juste....
E-bog 35,06 DKK
Forfattere Théophile Gautier (forfatter)
Forlag SAGA Egmont
Udgivet 30 september 2021
Længde 10 sider
Genrer Short stories
Sprog French
Format epub
Beskyttelse Vandmærket
ISBN 9788726974072
À Paris on ne parle que de Mademoiselle Dafné, de sa façon de s'habiller si élégante, de ses cheveux blonds devenus roux, de ses yeux verts de mer...
Et depuis peu, de sa disparition. Tout Paris la cherche activement et dans les moindres recoins. Certains la pensent enfouie au fond d'un monastère, d'autres l'imaginent en fuite faute de pouvoir payer ses dettes, mais peu d'entre eux ont vu juste. Il semblerait qu'elle se soit rendue à Rome, à la rencontre d'un prince appelé Lothario...

D'une atmosphère légère au souterrain cauchemardesque d'une villa romaine, Théophile Gautier érige une nouvelle où l'univers mondain se mêle au fantastique et l'onirisme. Théophile Gautier (1811-1872) est destiné à une carrière de peintre, mais une rencontre décisive avec Victor Hugo lui donne un fort goût pour la littérature. Victor Hugo lui prêtera sa tendance au romantique, qu’il défendra par ailleurs dans la fameuse bataille d’Hernani, le 25 février 1830, contre le classicisme. En 1831, il participe au petit cénacle, cercle littéraire qui lui fait rencontrer Nerval. Il publie cette année là son premier conte fantastique « La Cafetière », genre qu’il utilisera aussi dans « Avatar » en 1856, et « Le Roman de la momie » en 1858. En 1852, il publie « Émaux et Camées », un recueil de vers qu’il continue de travailler jusqu’en 1872. Il lui vaudra l’admiration de Baudelaire qui lui dédie « Les Fleurs du Mal ».