Une brève histoire des colonies françaises e-bog
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Dans un style journalistique factuel, presque télégraphique, Michel Paufique a voulu retracer en détails l'histoire des colonies françaises.Michel Paufique (1923-2015), passionné d’histoire et d’architecture, a parcouru le monde toute sa vie professionnelle. Au soir de sa vie, il a cherché à retracer « une brève histoire des colonies françaises ». Dans un style journalistique factuel, presque t...
E-bog
27,55 DKK
Forlag
Publishroom
Udgivet
18 april 2019
Genrer
HBJD
Sprog
French
Format
epub
Beskyttelse
LCP
ISBN
9791023612004
Dans un style journalistique factuel, presque télégraphique, Michel Paufique a voulu retracer en détails l'histoire des colonies françaises.
Michel Paufique (1923-2015), passionné d’histoire et d’architecture, a parcouru le monde toute sa vie professionnelle. Au soir de sa vie, il a cherché à retracer « une brève histoire des colonies françaises ». Dans un style journalistique factuel, presque télégraphique, il a cherché à extraire et restituer, pour chaque pays, la petite histoire qui conduit à la grande, l’évènement, la personnalité, l’échange verbal, ce point d’inflexion où le temps libère l’action qui change le cours de l’histoire.
On se surprendra à aimer découvrir ces chroniques, on se laissera prendre par la main par ce conteur malicieux, on se surprendra à imaginer sa voix, son sourire et son regard d’un bleu espiègle et bienveillant.
Et puis la magie opère, on commence à comprendre comment et parfois sur quel coup de dés, le destin des peuples à disposer d’eux-mêmes s’est joué.
« Un coup de dés jamais n'abolira le hasard » Stéphane Mallarmé
Laissez-vous surprendre par les chroniques historiques de ce conteur malicieux, pour comprendre comment et parfois sur quel coup de dés, le destin des peuples à disposer d’eux-mêmes s’est joué.
EXTRAIT
Colbert, par souci d’efficience, préconisa la suppression de la peine de mort, au profit de celle des galères. Il ignorait sans doute la monstruosité de la condition de ces malheureux rivés à leurs rames et des coups qu’ils recevaient.
Mais, en parallèle, on éduqua des recrues pour devenir matelots et l’on forma des cadres.
Des hommes de mérite furent engagés : Abraham Duquesne, élevé au rang de marquis mais jamais maréchal de France, parce que protestant. Jean Bart, petit fils d’un corsaire de Dunkerque, plein d’aplomb. Il répondit au roi qui lui disait « Jean Bart, je vous ai nommé chef d’escadre », « Sire, vous avez bien fait ».
L’œuvre de Henri IV, Richelieu et Colbert fut immense.
Le Canada, malgré son climat rude, ses forêts, attirèrent quelques artisans.
Champlain remonta le Saint Laurent et fonda Québec en 1608. Lieutenant général en 1620 puis gouverneur en 1633, il assura l’essor de la nouvelle colonie qu’il administra pendant 29 ans et y mourut.
Les compagnies commerciales, dont on attendait beaucoup, vacillèrent. Elles n’eurent ni les hommes, ni les ressources nécessaires, pour mener à bien la gestion d’un territoire plus grand que la France.
A partir de la fin du règne de Louis XIV, l’Angleterre commença à tisser des liens avec l’empire colonial français.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Michel Paufique (1923-2015) a parcouru et séjourné pour des motifs professionnels, pendant 23 ans de nombreux pays, Brésil, Iran, Maroc, Algérie, Europe.
Passionné d’histoire et d’architecture, il s’est livré à la retraite à ses « chères études » et s’est penché plus particulièrement sur la Seconde Guerre mondiale et la colonisation puis la décolonisation.
Son histoire personnelle a été marquée par la Seconde Guerre Mondiale qui a troublé ses études (de 17 à 22 ans) et ses activités professionnelles qui l’ont conduit au Maroc en 1956 pendant les premiers troubles, et en Algérie, trois ans après son indépendance. Ces expériences expliquent sans doute son intérêt pour les événements relatés dans cette étude.
Michel Paufique (1923-2015), passionné d’histoire et d’architecture, a parcouru le monde toute sa vie professionnelle. Au soir de sa vie, il a cherché à retracer « une brève histoire des colonies françaises ». Dans un style journalistique factuel, presque télégraphique, il a cherché à extraire et restituer, pour chaque pays, la petite histoire qui conduit à la grande, l’évènement, la personnalité, l’échange verbal, ce point d’inflexion où le temps libère l’action qui change le cours de l’histoire.
On se surprendra à aimer découvrir ces chroniques, on se laissera prendre par la main par ce conteur malicieux, on se surprendra à imaginer sa voix, son sourire et son regard d’un bleu espiègle et bienveillant.
Et puis la magie opère, on commence à comprendre comment et parfois sur quel coup de dés, le destin des peuples à disposer d’eux-mêmes s’est joué.
« Un coup de dés jamais n'abolira le hasard » Stéphane Mallarmé
Laissez-vous surprendre par les chroniques historiques de ce conteur malicieux, pour comprendre comment et parfois sur quel coup de dés, le destin des peuples à disposer d’eux-mêmes s’est joué.
EXTRAIT
Colbert, par souci d’efficience, préconisa la suppression de la peine de mort, au profit de celle des galères. Il ignorait sans doute la monstruosité de la condition de ces malheureux rivés à leurs rames et des coups qu’ils recevaient.
Mais, en parallèle, on éduqua des recrues pour devenir matelots et l’on forma des cadres.
Des hommes de mérite furent engagés : Abraham Duquesne, élevé au rang de marquis mais jamais maréchal de France, parce que protestant. Jean Bart, petit fils d’un corsaire de Dunkerque, plein d’aplomb. Il répondit au roi qui lui disait « Jean Bart, je vous ai nommé chef d’escadre », « Sire, vous avez bien fait ».
L’œuvre de Henri IV, Richelieu et Colbert fut immense.
Le Canada, malgré son climat rude, ses forêts, attirèrent quelques artisans.
Champlain remonta le Saint Laurent et fonda Québec en 1608. Lieutenant général en 1620 puis gouverneur en 1633, il assura l’essor de la nouvelle colonie qu’il administra pendant 29 ans et y mourut.
Les compagnies commerciales, dont on attendait beaucoup, vacillèrent. Elles n’eurent ni les hommes, ni les ressources nécessaires, pour mener à bien la gestion d’un territoire plus grand que la France.
A partir de la fin du règne de Louis XIV, l’Angleterre commença à tisser des liens avec l’empire colonial français.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Michel Paufique (1923-2015) a parcouru et séjourné pour des motifs professionnels, pendant 23 ans de nombreux pays, Brésil, Iran, Maroc, Algérie, Europe.
Passionné d’histoire et d’architecture, il s’est livré à la retraite à ses « chères études » et s’est penché plus particulièrement sur la Seconde Guerre mondiale et la colonisation puis la décolonisation.
Son histoire personnelle a été marquée par la Seconde Guerre Mondiale qui a troublé ses études (de 17 à 22 ans) et ses activités professionnelles qui l’ont conduit au Maroc en 1956 pendant les premiers troubles, et en Algérie, trois ans après son indépendance. Ces expériences expliquent sans doute son intérêt pour les événements relatés dans cette étude.