Guide pratique d’introduction à la régression en sciences sociales. 2e édition revue et augmentée e-bog

«Je dois dire mon admiration pour l’important travail de vulgarisation fait par les auteurs. Ce manuel se lit bien. Il est complet. Il s’agit d’une rare introduction en français à cette méthode, pourtant très utilisée et extrêmement utile. ».- Claire Durand, professeure de sociologie, Université de MontréalPétry et Gélineau relèvent avec brio le défi de rendre intelligibles avec la plus grande rigueur dans la présentation des concepts et dans le traitement des données, les notions fondamentales de l’analyse statistique à un public dont la formation initiale en mathématiques est élémentaire. Leur recours à l’examen visuel des données et l’économie des démonstrations mathématiques formelles rendent agréablement intuitif l’apprentissage de la régression aux étudiants et chercheurs des sciences sociales. - Louis M. Imbeau, directeur de la collection« Les concepts mathématiques sont présentés dans un langage accessible et sont appuyés par une abondance d’applications pratiques. Les tableaux et graphiques sont clairs et leur interprétation n’est pas sous-entendue. Un manuel unique en son genre dans une littérature généralement pauvre sur le plan pédagogique ».- Michael Lewis-Beck, professeur de science politique, University of Iowa« Le Guide devrait être en mesure de séduire une grande variété d’étudiants de diverses disciplines comme en génie, en finances, plusieurs disciplines scientifi¬ques et particulièrement les étudiants en sciences sociales ».- Claude Montmarquette, professeur émérite de sciences économiques, Université de Montréal« Face à des méthodologies complexes et pourtant d’usage désormais courant pour ceux et celles qui s’intéressent à la sociologie et à la science politique in¬ternationales, le guide est une porte d’entrée claire, une référence obligée pour franchir le pas pour tout étudiant et académique qui voudrait s’initier ou se re¬mettre à niveau. Ce guide est unique sur le marché francophone ».- Vincent Tiberj, chargé de recherche, CEVIPOF, Sciences-po Paris