Ornella (e-bog) af Serac, Eleane
Serac, Eleane (forfatter)

Ornella e-bog

54,41 DKK (inkl. moms 68,01 DKK)
Un parcours initiatique pas comme les autres grâce à l'écriture.« Si tu es dans une pièce vide, blanche. Une pièce où tes actes sont dénués de toute conséquence envers autrui.Si tu te tiens debout, droit et vide de pensées autres que ton bien-être. Si tu as le droit d’avoir le choix.Où es-tu ? Que fais-tu ? Qui t’accompagne ? »C’est au cours d’une introspection profonde, aboutissant au lancemen...
E-bog 54,41 DKK
Forfattere Serac, Eleane (forfatter)
Udgivet 6 december 2018
Genrer Self-help, personal development and practical advice
Sprog French
Format epub
Beskyttelse LCP
ISBN 9782378777272
Un parcours initiatique pas comme les autres grâce à l'écriture.

« Si tu es dans une pièce vide, blanche. Une pièce où tes actes sont dénués de toute conséquence envers autrui.
Si tu te tiens debout, droit et vide de pensées autres que ton bien-être. Si tu as le droit d’avoir le choix.
Où es-tu ? Que fais-tu ? Qui t’accompagne ? »

C’est au cours d’une introspection profonde, aboutissant au lancement d’un développement personnel intense, que l’écriture s’est offerte à moi.
Il va sans dire que l’évolution est en élévation constante et que je n’en suis déjà plus là. Néanmoins, la concrétisation du projet est une étape cruciale au lâcher-prise. Ce contrôle permanent, ce perfectionnisme.

Incontestablement, la possibilité que l’envoi de cette miette culturelle dans le monde puisse apporter un effet bénéfique à l'un de mes semblables engendre la motivation pour acquérir enfin le courage d’affronter cette peur de l’échec qui m’habite.
Approcher ce dépassement, cette estime, cet amour de soi. Un mélange de brut, de sensible et d’espoir. Un mélange de biographie, de pensées et de fiction.
Voici l’Essai que je propose aujourd’hui timidement à l’Univers.

L'écriture comme parcours d'introspection pour se découvrir soi et développer sa pensée personnelle.

EXTRAIT

Un jour, j’ai découvert le NaNoWriMo et son livre Écrivez un Roman en 30 jours. Je me le suis approprié et j’ai dévoré une partie de son contenu. Je n’ai pas attendu le top départ de la page. Le premier du mois était arrivé. J’ai commencé à écrire et je me suis rapidement rendu compte que nous n’étions pas censés démarrer d’une idée de base ; le but étant d’inventer les mots au fur et à mesure. J’ai triché. Un peu. Mais j’ai tout de même embarqué dans l’aventure. Parce qu’au final, c’est le roman lui-même qui dicte son écriture. Je suis passée par différentes phases. Un peu comme lorsque tu regardes un film. Le décor est romantique. Tu imagines la scène suivante. Tu es certaine qu’il va l’embrasser. Mais tout compte fait tu assistes au vent le plus violent qui soit.
Eh bien, dans ce cas précis, c’est pareil.
À chaque fois que je pensais être sur la bonne voie et qu’enfin j’allais l’embrasser, le roman décidait de prendre une nouvelle route pour m’emmener vers d’autres sentiers qui voguaient vers d’autres contrées aux paysages tout aussi créatifs. D’un réalisme sans faille. La découverte, page après page, a été d’une intense réflexion jusqu’à ce que je comprenne qu’il fallait lâcher prise.
Il fallait laisser le roman s’installer par lui-même.
Vivre par lui-même.
Se nourrir par lui-même.
Il savait très exactement où il devait aller.
Je suis devenue l’instrument humain matérialisé pour l’y emmener.
Instrument qui a tout de même certains besoins totalement loufoques.